Je suis une pute de rue. Pas une call-girl ou quelque chose comme ça; non, une vraie pute de trottoir, à talons hauts et cigarettes mentholées. Garantes de la japonaise, les geisha nont cessé de voir leur nombre décroître malgré un très léger regain ces dernières années. De nos jours, on nen trouve guère plus quà où elles sont connues sous le nom de 芸妓 geiko, alors que leurs apprenties sont des 舞妓 maiko. Elles sont regroupées dans une ces cinq 花町 hanamachi littéralement villes de fleurs que sont, Pontochô, Miyagawachô, Kamishichiken et la désuète Shimabara. Dames de compagnies, simples prostituées en kimono? en Associated Press, Taipei Times, p 11. Mis en ligne le, consulté le 11-10-2006; KONUMA Isabelle, The Parental Project in Japan: a Quest for Happiness and Conformity, in Frédéric Graber, Martin Giraudeau ed, à paraître. Linda Carswell Im happy to have discovered your delightful website! I am moving to Paris in January and look forward to learning about whats going on in.. Le mot geisha 芸者 est constitué de deux mots : gei pour art et sha la personne. Ainsi, les geishas sont des personnes de lartou plus simplement des personnes qui pratiquent les arts. Le terme geiko 芸妓, en vigueur dans le Kansai, signifie lui enfant de lart. A lorigine les premiers geishas étaient dailleurs des chargés de divertir les clients des ochaya お茶屋 ou maisons de thé dans les quartiers des plaisirs. On les nommait taikomochi 太鼓持 : porteur de taiko, un tambour japonais. Des femmes, désireuses de vendre leur art et non leur corps, ont rejoint la profession au milieu du XVIIIème siècle et prirent dabord le nom d onna taikomochi 女太鼓持, femmes taikomochi puis de geisha. Rapidement elles deviennent majoritaires et au XIXème siècle les taikomochi ont quasi disparu, supplantés par les geishas. Le métier sera reconnu par le pouvoir en 1779 qui leur interdira par là même la prostitution, prérogative des yûjos auxquelles elles ne doivent pas faire concurrence. En résumé, lors dune soirée dans un quartier des plaisirs comme le fameux Yoshiwara de Tôkyô, les geishas distraient les clients par leur conversation et leurs talents artistiques avant que les prostituées ne prennent le relais dans le domaine sexuel. Tout commence à Gion, le quartier sans doute le plus connu de la ville de Kyoto, aux environs du 13ème siècle. Comme pour beaucoup de professions de haut-rang, ce furent dabord des hommes qui eurent la noble tâche de divertir les seigneurs. On les appelait les Taikomochi. Maîtres dans lart de la cérémonie du thé, ils étaient également de fins danseurs et connaisseurs des arts. Pendant très longtemps la poudre blanche caractéristique des Geisha, lOshiroi, nétaient dailleurs utilisée que par les hommes. Dans les années 1700, quelques femmes vinrent rejoindre les rangs des Taikomochi pour devenir ensuite de plus en plus nombreuses et faire disparaître les hommes. La société des Geiko femmes des arts était née à Kyoto. Celle-ci fut dailleurs régie par le gouvernement japonais qui décréta notamment linterdiction des prestations sexuelles aux Geisha, acte réservé aux prostituées. Le culte dAphrodite est attesté à Samos par plusieurs inscriptions IG XII 6, 2, 261; 597; 598 et par un passage de Plutarque, Aet Gr, 54 Mor, 303c-d FGrHist 545 F 4. The house is a 3×9 meters long space, with 2 bedrooms, one on top of the other. Dautres hôtels dans ce secteur peuvent être trouvés sur la cartenbsp;:: lapprentissage, beaucoup se spécialisaient dans un art en particulier, la Expertes des arts traditionnels, les geisha seraient également à considérer comme de véritables œuvres à part entière. Parées des plus beaux kimono qui soient, maquillées et coiffées avec soin, ces femmes semblent en effet tout droit sorties dun monde onirique, dont la beauté et lélégance sont sans égal depuis plus de deux siècles.
Ces filles de joie du bas de léchelle travaillaient illégalement Les premières Geisha Femmes artistes identifiées dans lhistoire japonaise sont les Saburuko, Celles qui servent, qui attendaient à table, faisaient la conversation et parfois vendaient des faveurs sexuelles. Le Saburuko de classe supérieure dansaient et divertissaient lélite lors dévénements. Les Saburuko ordinaires étaient pour la plupart des filles de familles qui vivaient dans le dénuement et dans les bouleversements sociaux et politiques du 7éme siècle Période de la réforme Taika.
Le Miyako Odori a débuté à loccasion de lExposition Universelle de Kyōto en 1871. Le Kamogawa Odori a débuté en 1872, et depuis, il a lieu tous les ans en mai et en octobre ; il na été interrompu quen 1945, au moment de la fermeture des okiya pendant la.
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